même si la voyance devient un bijou de la même façon qu'un autre
À passer de là, j’ai commencé à intégrer cet dispositif dans mon quotidien métier. Pas par exemple une béquille, mais de façon identique à un miroir supplémentaire. Dans le pilotage de objectifs complexes, dans le contrôle des tensions en interne, ou physionomie à des arbitrages sans “bonne réponse”, j’ai de caractère régulière eu recours à une consultation en ligne. Ce n’est jamais une loi trophée à la place. C’est un process d’éclairage. Un révélateur de ce que l’on sait déjà, mais qu’on n’a pas encore amené. J’ai compris que la honnête intensité de cette pratique résidait dans sa capacité à reconnecter le amenant à lui-même. À le ôter de la façon de vous maintenir, du rôle, du masque. Et on a dans cette déconnexion temporaire que j’ai fréquemment trouvé mes plus fines choix. Car une entreprise, ce n’est pas un ensemble de chiffres. C’est une énergique vivante, faite d'individus, d’émotions, de rythmes. Or ces éléments-là ne sont pas du tout mesurables. Ils se perçoivent. Et la voyance, en aussi bien qu’espace d’écoute visionnaire, m’a accords de alimenter cette intuitions adaptée, actuellement un échelon important à mon leadership.
Je ne suis pas ce qu’on appelle un espèce humaine superstitieux. Chef d’entreprise durant mes 27 ans, j’ai conçus ma carrière professionnelle sur des résolutions rationnelles, des prévisions, des études de marché et particulièrement sur un flair affûté, forgé par les erreurs et les réussites. Pourtant, à 30 ans, en arrière plusieurs époques à suggestionner ma boîte à un rythme effréné, des éléments a commencé à me lâcher. Pas le business, non, mais un individu. Je me suis retrouvé à se servir en rondelette dans mes choix, à hésiter plus que d’habitude, à déchiffrer que mes moyens quotidiens — tableurs, bilans, indicateurs — ne suffisaient plus à aviser certaines parties floues de mon quotidien efficace et perso. Et cela vient là qu’un copain — lui-même entrepreneur — me traite, presque en riant, d’un voyant en ligne. “Tu devrais dénicher, immédiate pour réaliser. Tu serais surpris. ” J’ai levé les yeux au ciel, entendu. Mais la graine était plantée. Un soir, entre deux courriels, je clique par soif sur un site de voyance en ligne. L’interface est moderne, rien à voir avec ce que j’imaginais. Pas de boules voyance olivier de cristal, pas d’ambiances enfumées. Juste des expériences avec exemples, forces ( cartes, flashs, astrologie, etc. ), avis internautes et années de résonance. C’est fluide, presque immensément. Je conçus un voyant au destin, consultation par tchat. Je ne crois à rien, je ne veux rien imaginer. Et toutefois, au fil des échanges, quelque chose à lieu. Il ne s’agit pas de prédictions, mais de lecture visionnaire. Je pose une problématique jointe à à une rentrée de franc que je prépare pendant des mois. Il ne me donne pas une solution en direct. Il me décrit une intentionnalité bloquée, un partenaire dont l’intention n’est pas alignée. il n'est pas nébuleux, cela vient divers. c'est pas un dissection d’audit, on a un reflet. Et curieusement, ce réflecteur m’oblige à avoir la compréhension différemment. Je ne raccroche pas avec une truisme. Je raccroche avec un doute plus clair. Ce originel contact a ouvert une brèche dans mon personnalité de principe. J’ai commencé à faire appel à ponctuellement. Par discussion, par téléphone, parfois par message quand je voulais conserver une empreinte. Pas de dépendance, pas de dol de contrôle. Juste un sujet en plus dans ma boîte à instruments cérébrale. Et généreusement rapidement, j’ai compris l’intérêt concret de la voyance en ligne pour quelqu’un notamment un personnage : l’instantanéité. Pouvoir avoir une question à 23h30 pendant son endroit préféré, sans RDV, sans contrainte. Avoir un renouveau dans la minute. C’est un prestige paradoxal : obtenir du “temps” dans un système où tout s’accélère. Ce que je cherchais sans l'artisanat, c’était du recul, de l’éclairage, pas des convictions. La voyance en ligne, contrairement à ce que j’imaginais, ne présente pas tout conclure. Elle interroge. Elle offre un autre prisme. Et parfois, ce prisme m’a aidé à bon englober un client, à concevoir une énergie d’équipe, à enjôler un non-dit dans une négociation. C’est une pensée complémentaire. L’intuition au service de la technique.